Les médicaments à service médical faible
A partir d’avril 2011, deux cent huit médicaments vont passer d’un remboursement de trente cinq pour cent à quinze pour cent au motif de « service médical faible »
- Ils rejoignent les cent soixante quinze produits déjà concernés depuis deux mille six.
- Pourquoi , Comment , ces antitussifs, antiseptiques, vaso-dilatateurs, anti inflammatoires et antibiotiques ont pu être considérés comme efficaces, prescrits par le corps médical, délivrés en pharmacie et remboursés ?
- Si, comme l’affirme la Mutualité Française, un médicament n’est pas jugé efficace, il n’y a pas de raison qu’il soit pris en charge par la solidarité nationale.
- Quel crédit accorder au discours actuel qui veut faire admettre pour soutenir une logique comptable, que des médicaments utilisés depuis des décennies ne seraient que des placebos ?
- Soit ces médicaments sont efficaces et doivent être maintenus à leur niveau de remboursement au taux de 35% , soit ils ne le sont pas et doivent
disparaître de la nomenclature.
- La baisse du remboursement représente une ponction supplémentaire sur
les patients.
- Nous posons la question de savoir qui aura les moyens financiers nécessaires au recours à l’assurance complémentaire, qu’elle soit mutualiste ou privée ?
- Cette logique prioritairement comptable de la Sécurité Sociale porte atteinte à la Santé Publique.
POUR PLUS DE RENSEIGNEMENTS, CONTACTEZ
- INDECOSA CGT
23 Boulevard Charles Nedelec 13003 Marseille
Diffusion à 19 H 23 après le journal régional :
- Mercredi 2 mars 2011
- Dimanche 6 mars 2011
- Mercredi 9 mars 2011
.
.
Dernière modification de cette page : 19 septembre 2011